Corolle : le soleil est revenu... en charmante compagnie.
La pluie a fini son travail. Le jardin a étanché sa soif et a retrouvé la lumière du soleil.
Mais le soleil n'est pas revenu tout seul. Il était accompagné de l'une de ses petites filles.
Voici la jolie PAMELA. Une charmeuse née en 1987.
Une superbe petite fille des îles de 52 cm qui porte une ravissante toilette.
Cette poupée est la "je ne sais combientième" que je vous présente.
Toutes ces demoiselles font partie de ma collection personnelle.
Quelqu'un m'a demandé "pourquoi ? quand ? où ? et comment ?" est née cette passion pour les poupées Corolle.
J'ai la réponse à ces questions, mais impossible de la résumer en deux ou trois phrases.
C'est à la fois très simple, mais aussi très compliqué d'expliquer une passion.
J'ai demandé à cette personne pourquoi elle me posait toutes ces questions. Elle m'a répondu que c'était parce qu'elle ne comprenait pas pourquoi je pouvais passer autant de temps à admirer mes poupées, à les choyer et parce qu'elle ne comprenait pas la joie et le bonheur que ces frimousses pouvaient m'apporter.
Sa franchise ne m'a pas gêné car ce n'est pas la première fois que je fais l'objet de remarques moqueuses. Cela me laisse de marbre.
Je lui ai simplement répondu que nous avions tous une sensibilité, un vécu, une histoire personnelle différente et
que c'est cela, sans doute, qui nous guidait à travers la vie et nous aidait à en franchir les différentes étapes.
Elle ne voyait pas le rapport avec les poupées.
Cette personne me trouvait puérile, frivole, immature, etc....
Trois adjectifs nets et précis qui ont ouvert très larges les portes d'une vraie discussion. Plus question de répondre à de simples questions apparemment innocentes.
Il fallait faire appel au Docteur Freud ou à Françoise Dolto pour se sortir dignement de cette situation désagréable.
Mais qui a vraiment besoin d'aide, l'autre personne ou moi ??